"Dieu se rit des hommes qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes."
A l'origine la finale de la ligue des champions au soir du 28 mai devait se jouer en Russie, à Saint-Pétersbourg. Cependant en raison de la guerre russo-ukrainienne, celle-ci a été délocalisée au Stade de France.
Une décision qui aurait dû faire rayonner la France à l'internationale, mais au lieu de cela le monde entier a pu assister aux prémices de ce que serait un grand remplacement à l'échelle d'un pays.

Dressons le bilan de l'état des lieux :
-Des supporters agressés, volés, humiliés par des hordes de racailles. (1, 2, 3)
-Des affrontements entre la police et ces mêmes racailles. (1, 2)
-Une sécurité aux fraises à l'image de notre pays permettant à n'importe quel sans billet de rentrer comme bon lui semble (se permettant même de nous menacer et nous narguer). Que se serait-il passé si des djihadistes en avaient profité pour rentrer également ? Attendez on me souffle dans l'oreille que c'est déjà le cas... Donc on laisse des djihadistes rentrer dans le Stade de France après le 13 novembre ? Je répète pour ça percute : On laisse des djihadistes rentrer dans le Stade de France après le putain de 13 novembre ??!!
-Des supporters anglais gazés et repoussés hors du stade (y compris des enfants) alors qu'ils avaient acheté leur billet. (1, 2)
-Un personnel de sécurité totalement soumis et impuissant. (1, 2)
On aurait pu se croire dans un pays du tiers monde mais non, c'est bien en France vous voyez ces images, à quelques kilomètres de la capitale...

Voici quelques exemples de témoignages :
"Nous nous sommes garés dans le quartier et un type est arrivé qui s’est mis devant nous et avec le traducteur google nous a dit “vous savez où vous vous garez ?” et nous a réclamé 50 euros pour protéger le van. On a fini par lui en donner 40, alors il a pris une photo et l’a transmise à sa bande, je suppose."

"Il n’y avait pas d’anneaux de sécurité ou quelque chose comme ça, tout le monde pouvait entrer, et ceux que l’on voyait sauter les barrières étaient des gens du quartier, de différentes races, que l’on voyait déjà palper tout le monde, chercher des montres, des téléphones portables"

"Nous sommes allées d’un bar au métro et j’ai commencé à voir des centaines de personnes du quartier qui nous observaient, qui traquaient tous les supporters, à la recherche de quelque chose à voler. J’ai appelé mon mari et lui ai demandé de sortir du stade parce que nous avions très peur, tout comme des centaines de supporters des deux équipes."

"Vous voyez des flots de ces gens qui se dirigeaient vers le stade, qui volaient, qui agressaient, avec des cutters pour découper les sacs. Je ne pouvais pas croire ce qui se passait, il y en avait des centaines et des centaines. Je suis arrivé dans le métro et les gens en sortaient en courant, imaginez ce qui se passait en bas. Ils ont jeté du spray au poivre et ça nous a frappé de plein fouet."

"Les supporters s’associaient les uns aux autres pour former des boucliers et mieux se défendre, les supporters du Real Madrid et de Liverpool même. J’ai appris par la suite que de nombreuses filles avaient été déshabillées et volées."

"Je venais de quitter le stade lorsque j’ai remarqué que quelqu’un avait fouillé dans ma poche et pris mon téléphone portable. Ma première réaction a été de lui courir après et je l’ai poursuivi jusqu’à ce que je le croise dans une rue : des dizaines de jeunes du quartier me regardaient avec un visage hargneux. J’ai crié à l’aide et la police est rapidement arrivée, est entrée dans la maison où le garçon était censé se trouver et l’a fait sortir, menotté et tout. Il était deux heures du matin et je voulais juste partir mais ils m’ont forcé à aller au poste de police pour déposer une plainte. Il y avait des centaines de fans, surtout des fans de Liverpool. Quand je suis parti, il était déjà trois heures et je cherchais comme un fou une voiture pour m’emmener hors du quartier. J’ai arrêté un gars et il m’a demandé 90 euros pour m’aider. Je l’aurais payé mille euros pour sortir de là."

"Les gens ne peuvent pas imaginer ce que c’était. Il y avait des armées de voleurs à notre recherche. Il y a eu des bagarres, des agressions, des vols… Un film d’horreur."

Ne vous détrompez pas, ce qui est arrivé hier soir n’est pas le fruit du hasard, mais d’un système. Être contre ce système n’est pas "une récupération politique" mais du bon sens. La France "terre d'accueil" a fait la démonstration devant 350 millions de personnes de l'échec cuisant de 40 ans d'immigration folle. Le ministre de l'intérieur Gerald Darmanin aura beau essayer de mentir comme à son habitude, cette fois la vérité sera beaucoup plus difficile à cacher car la presse étrangère est unanime. (1, 2, 3, 4)

C'est hallucinant que le gouvernement prenne autant les gens pour des cons, alors que les photos, les vidéos, et les témoignages circulent par milliers sur les réseaux sociaux. Les supporters britanniques n'ont rien à voir avec ce qui est arrivé. Ce sont les remplaçants, c'est à dire les immigrés arabo-africains qui nous agressent, nous volent, se permettent de nous narguer, et de nous insulter en toute décontraction. Cette jubilation n'est autre que le comportement typique des envahisseurs lorsqu'ils conquièrent un territoire. Les événements du Stade De France sont une honte pour le pays. La racaille peut agir en toute impunité pendant que les gens normaux sont traités comme de la vermine. Comme l'a si bien dit Thierry Henry : "Croyez-moi, vous ne voulez pas être à Saint-Denis, ce n'est pas Paris".
On pourrait ajouter : Saint-Denis ce n'est plus la France. Des noirs et des arabes ont détroussé et racketté des touristes par centaines ! S'il vous arrivait la même chose en Thaïlande, aux Émirats ou au Maroc, est-ce que vous auriez envie de revenir ? Croyez-vous que ces gens reviendront ? Il faut présenter nos excuses à l'Angleterre et à l'Espagne et leur promettre que nous allons entreprendre un programme de nettoyage de printemps dans l'intérêt de tous.
Saint-Denis montre au monde entier la réalité de la France sans filtre et sans tabou. Nous nous sommes habitués à l'inacceptable : 13 novembre, 14 juillet, dans les cinémas, dans les transports, dans la rue, dans les piscines, dans les écoles... Tout est toujours souillé, démoli par des animaux qui ne respectent rien, synonyme de la régression pour la société française et fière de ces comportements tribaux. Le tout assaisonné par un gouvernement corrompu, lâche, hypocrite et incompétent.


Qu’est ce qu’on aurait pu faire pour se prémunir du désastre ?
C'est pourtant simple. Durant les évènements de mai 68, est sorti le film "La planète des singes" de Franklin J. Schaffner.
Il y avait déjà des racailles dans les années 60. On était dans une phase de "paix", les jeunes manifestaient contre la guerre au Vietnam et on n'allait quand même pas tuer nos jeunes pacifistes... On commençait alors à parler de répression non létale. D'où le film tiré d'un roman du français Pierre Boulle.

Pourquoi je vous parle de ce film ? Dans la première scène on voit l'armée de gorilles appréhender des rebelles humains en utilisant des filets de pêche.
Dans la vraie vie, et en 2022, on a complètement oublié qu'on pouvait arrêter des gens qui ne respectent pas la loi, quitte à ensuite les relâcher ou les condamner à de simples amendes, ou même les emprisonner selon la gravité de l'infraction.
Quand des racailles décident de pénétrer à l'intérieur du stade sans billet, il aurait fallu lancer un filet avec une mini arbalète que chaque policier devrait avoir sur lui, et la racaille est saucissonnée avec un effet légèrement soporifique.
Il suffit alors de les entasser dans des camions comme les bêtes qu'ils sont. Mais vu qu'on n'a pas encore inventé ce qui se faisait au cinéma il y a plus de 50 ans, cela dégénère chaque fois que cela se passe dans un quartier sensible. Et on en vient (surtout lorsqu'on est de gauche) à mettre en cause la parole et les actes des forces de l'ordre qui sont pourtant là pour protéger les citoyens...

Il faut absolument retrouver le courage de faire des arrestations massives. Des centaines de personnes par jour, puis trier. Les délinquants étrangers doivent être expulsés sans délai. Ceux qui n'ont plus de papiers et/ou ont perdu la mémoire doivent être déportés dans une prison en Outre-Mer. A leur libération ils se souviendront d'où ils viennent et nageront jusqu'à l'Afrique. Qu'est-ce qu'il y a de compliqué là-dedans?
Bon après il faut aussi contrôler les billets pour les évènements sportifs et culturels, ils devraient être autant protégés que des billets de banque quasi infalsifiables.

Enfin, il faut créer un délit de trahison. Une grève qui nuit à la sécurité des citoyens ou à l'image de la France dans le monde doit être interdite et les grévistes condamnés. Il faut encadrer cela par une loi. Un gros évènement sportif, la venue d'un chef d'état étranger, ce n'est pas le jour pour faire grève !